Contes de l'Univers

Oyé ! Oyé monstres et humains de tout poils et de tout bords !

Sur l'estrade, la femme leva les bras pour signaler sa présence tout en criant aux alentours.
- Allons mes amis ! Venez, venez, approchez, ne soyez pas timides.
Je vais vous dire : vous vous demandez qui est cette folle, hurlant et gigotant. Et bien, je vous répond. Je suis Jyla Malmop, ménestrelle de l'Univers. Je traverse les étoiles et les systèmes, le vide intersidéral, j'ai posé le pieds sur plus d'un millier de planètes. Et je suis ici, pour vous conter à vous, oui, à vous ! Les plus belles histoires que mes oreilles ont bien voulue retenir. À présent, approchez, et écoutez.

L'Univers

L'Univers est un espace sans réelles limites et aux origines incertaines. Mais les Hommes Perdus des planètes du Système des Bérénides racontent la Légende, une histoire racontée par la pierre elle-même. Cette Légende raconte la naissance de notre Univers.

Il existe, quelque part, un Palais, un immense palais, avec un gargantuesque jardin. Les bâtiments sont nombreux et rutilent comme des joyaux, le jardin est tellement beau et clair de rosée que les habitants doivent froncer les sourcils pour ne pas être éblouis. Dans ce Palais, des personnes comme vous et vous moi vivent, aiment, haïssent, mentent, volent et font des enfants. Ils obtiennent tout ce qu'ils veulent sans fournir aucun travail, ne manquent de rien et sont, presque tous, heureux. S'ils ont besoin de quelque chose, ils se rendent dans la grande salle ronde au milieu du Palais. Cette salle ronde n'a pas de plafond, ou si elle en a un il est tellement haut que l'on ne peut l'appercevoir. Une fois là, ils se plantent au milieu de la pièce, lèvent les yeux et demandent à haute voix ce qu'ils veulent. Alors, la chose convoitée descend doucement et se pose à leurs pieds.

Un jour, descendant dans l'étage des Plaisirs, où certaines personnes se sont désigné pour, bénévolement, masser ou offrir toute sorte de petites satisfations, Lina, une jeune femme, eu une idée bizarre. Elle passait devant des petites pièces où des couples se réunnissaient en cachette et voyait, par la porte laissée entrouverte par des couples négligeants, certaines scènes à faire rougir plus d'une personne. Elle se dit : «Pourquoi certaines personnes aiment elles tant ces... choses ?» Lina était un peu prude et timide.

Elle réfléchit alors, se demandant ce que l'humain avait de plus que l'animal. Il tuait, volait, fesait l'amour, voulait une descendance, défendait une propriété, se battait... Et elle pensa avoir trouvé la solution : la capacité à se poser ces questions. Alors, elle parla autour d'elle, afin de confronter les avis. Et bien plus tard, on lui suggéra un moyen de chercher une véritable réponse. Elle devra dormir, rêver et chercher dans ses rêves une porte pour explorer le fond de son âme.

Dans sa petite chambre douillette, avec vue sur le lac du jardin, sur son lit aux innombrables coussins, elle chercha. D'abord, ses rêves furent normaux, sans queue ni tête. Puis, petit à petit, elle se mit à continuellement voir une même chose dans ses rêves. Elle voyait sans cesse, au milieu d'éléphants à pois ou de trompettes à langue, une petite porte avec son nom dessus. Une nuit, elle se força à ouvrir la porte, mais ses efforts ne la firent que se réveiller.

Elle était désespérée. Si près du but, et pourtant si loin ! Elle voulait tellement ouvrir cette porte qu'elle choissit une solution radicale. Elle demanderait à la salle ronde un breuvage, capable de la garder endormie éternellement, sans que son corps ne meure. Elle n'avait pas pensé à un moyen pour communiquer ses découvertes éventuelles aux autres. Lina voulait tellement savoir !

Le soir, elle essaya le breuvage. Elle rêva deux nuits et trois jours avant de réussir à pousser la porte. Et tout s'enchaîna.

Son corps devint froid.
Ses main se rigidifièrent.
Son sang s'arrêta de couler.
Petit à petit, sa peau devint glace, glace pure.
Mais elle vécu, et continua de vivre.

Au fil des millénaires, le Palais tomba en ruine et le dernier de ses habitant mourut, excepté Lina. Seule, éternellement seule.

Elle était toute seule, son esprit plein de remord le sentait, et elle haïssait cette solitude.
Alors, pour se tenir compagnie, elle immagina dans sa tête des petits humains sur une petite planète bleue. Ses humains voulurent savoir ce qu'il y avait en dehors de leur planète, alors elle créa le système solaire. Ses humains voulurent savoir ce qu'il y avait au delà de la ceinture d'astéroïdes délimitant leur système, alors elle créa la galaxie.
Ses humains voulurent découvrir plus encore, alors elle créa l'Univers.
Et l'Univers existe toujours, dans le Rêve de Lina.

Lina la Rêveuse a néanmoins trouvé un moyen de pouvoir un jour se réveiller, et mourir, mais pour celà les habitants de son Univers devraient intervenir. Quelque part, au plus profond d'une étoile, elle transposa son enveloppe immatérielle. Puis, elle envoya ce message, gravé sur la surface d'une planète entière.
«Si vivre vous insupporte, si d'avenir vous ne voulez, partez à la recherche de l'étoile la plus brillante, aux confinds de mon rêve. Éteignez la, soufflez la comme un chandelle, et tout cessera.»

It is wonderful !

Sur l'estrade en bois, Jyla salua Otton-Vax en lui envoyant un baiser et s'assit au bord dans une posture avantageuse.
- Alors mes petits chéris, z'avez aimé l'histoire ? J'en ai des dizaines, des centaines d'autre ! Et je suis prête à vous en raconter des milliers si je le veux.

L'Exil des Elfes

Sur Terra Prima, une grande civilisation s'éleva, surpassant les autres. Un peuple vivant au contact des plantes, arbres et fleurs, un peuple sage et tellement beau que les hommes d'ailleurs seraient prèts à tuer pour épouser une de leurs femmes. Le peuple des Jal'Doneils, le peuples des Elfes. Les Elfes étaient beaux, capables d'exploits physiques incroyables, de tant de maitrise sur leurs corps qu'ils pouvaient ne rien boire ni manger pendant des mois et ils résonnaient aussi vite qu'un ordinateur. Ils étaient si intelligents, comparés aux humains de tout les horizons, que très vite l'espace s'ouvrit pour eux. Ils connurent la joie de parcourir à des vitesses supra-luminiques les espaces sombres et froids du grand vide inexploré. Ils construisirent des villes, édifièrent des temples sur d'autres planètes. Ils affectionnaient les planètes à faible gravité, car celà leur permettait de construire en des hauteurs incommensurables des bâtiments fins et délicats. Leurs laboratoires étaient prospères, leurs gens heureux et leurs vaisseaux très rapides. Encore aujourd'hui, lorsqu'un de leurs vestiges est découvert, les planètes se les arrachent à coup de missiles interplanétaires sans songer à la dépense.

Si je parle de leurs vestiges, c'est parce que leurs peuples a connu son apogée, puis son agonie. Sur Terra Prima, les humains se dévelopaient de plus en plus vite et devenaient de plus en plus intelligents. Ils construisaient des cités de plus en plus dévelopés et même des monuments énormes pour leurs faibles moyens, des piramides de pierre. Les Elfes, voyant celà, sourirent de tout leurs coeurs, car ils avaient enseignés les rudiments de la civilisation aux Hommes et les considéraient comme leurs enfants. Pour ne pas interféré désormais dans leur histoire, ils se retirèrent à l'arrière plan du cosmos, rasant leurs magnifiques cités pour s'exiler, laissant un Univers où des dizaines des planètes ont été terraformées par leurs soins, futurs mondes d'accueil pour leurs élèves. Hélas, ils détruisirent tant et si bien, effacèrent tellement parfaitement qu'aujourd'hui nous ne pouvons retrouver leur route vers l'Exil, le système où ils se sont finalement installés.

Des rumeurs disent que leurs naissances devenaient de plus en plus à fur et à mesure que leurs vies s'allongeaient. Et lorsqu'ils ont atteint l'Éternité, en trouvant le moyen de regénérer continuellement les cellules de leurs corps, les rendant immortels, il y eu un effet secondaire.
Ils ne pouvaient plus avoir d'enfants.

Les guerres face aux monstres de l'Univers, les maladies et les accidents réduissirent petit à petit leur nombre, et les Elfes ne furent plus que l'ombre d'eux même. Éternels mais désormais peu nombreux, ils surveillent encore de notre temps leurs enfants, leurs chères protégés.
Les Humains.

Guerres Humaines

L'Humanité a conquis l'Univers, elle a découvert les principes des moteurs à impulsions et les avantages de la colonisation extra-planétaire. Et comme toujours, l'égoïsme et le pouvoir ont créé diverses factions par delà le cosmos, tous différents et pourtant tous humaines. Des tensions n'ont pas tardées à surgir, notamment en un certain secteur de l'espace, il y a bien longtemps, avant la découverte des moteurs à hyperespace et de leurs fantastiques capacités, avant que les premiers terraformeurs humains soient mis au point.

L'Union Coloniale avait fait de son commerce un véritable art. En général, lorsqu'elle découvrait une planète habitable, ils brisaient sa virginité en tuant tout être intelligent, puis installait une base remplie de gens sans scrupules qui pillèrent ces ecosystèmes parfois uniques. Un jour, ils rencontrèrent une planète qu'ils croyaient vierge. Et ils trouvèrent des humains, vivant comme à l'antique Moyen-Âge. L'enquète montra qu'il s'agissait de survivants d'un "Vaisseau Perdu", un antique vaisseau de colonisation lancé depuis une Terra Prima primitive. Ils voulurent procéder à leur manière habituelle, mais cette fois-ci leurs opposants des Républiques Écologistes réussirent à soulever l'opinion de bien d'autres factions, et longtemps les Hommes débatirent sur le sort de ces humains vivant de façon primitive. L'Union voulait cette planète, riche en minerais, et les Républiques défendaient les droits de ces hommes et de ces femmes qui ignoraient tout de ce qui se tramait au-dessus de leurs têtes.

Ce fut une Guerre Froide, avec un Rideau de Fer intergalactique. D'un côté, les Humanistes, de l'autre côté, les Opportunistes. Chacun avait son idéologie, et peu à peu l'ennemi d'en face servit à l'unification des nombreuses puissances de chaque côté du Rideau. Deux superpuissances de l'espace virent le jour, et face à ces deux géants se toisant, les petites planètes neutres se sentaient mal à l'aise, et même terrorisées.

La Guerre Froide ne dura pas. Ce fut le chaos entre l'Empire Humain et l'Union Opportune, des batailles immenses autour des anneaux de Guoama II, des satellites de glace de Io IX et des poussières spatiales des Nuages d'Alexandre. Les plus déterminantes sont les batailles de Tajni, sur la planète comme au-dessus, du système de Achalon III, avec ses planètes-industries, et celle du détroit de la Nébuleuse de Tyffa. Je vais vous les raconter.

Tajni est une planète-océan, et la première productrice de deutérium des Opportunistes. Les Humanistes avaient besoin de cette planète, après leur défaite d'Io IX, qui a isolé les systèmes de production de deutérium du reste de l'Empire Humain et donc coupé les vivres aux vaisseaux de leur Empire. S'ils perdaient cette bataille, ils perdaient cette guerre qui venait de commencer. Alors au Jour dit ils envoyèrent toutes les armadas ayant assez de carburant pour parvenir à Tajni. Des troupes de choc furent larguées dans des caissons de débarquement à peine les moteurs à impulsion stoppés et les premiers croiseurs engagés dans le combat. Quoi qu'en disent les pilotes, ce sont les fantassins qui ont, cette fois, déterminé l'issue du combat. Tajni avait un système de défence des plus impressionant, caché sous la surface de l'eau et donc invisible jusqu'à ce qu'il tire. Prenant l'une après l'autre les instalations de production et les réservoirs de deutérium, les fantassins tombèrent par hasard sur le centre de contrôle secret de ce système de défence. Après un combat acharné, ils purent prendre le bâtiment et mettre hors d'usage tout les canons de Tajni. La bataille fut gagnée, et l'équilibre des forces fut rétablit. Une lueur d'espoir naquit sur Tajni pour l'Empire.

La ménestrelle bailla.
- Mes petits chéris, je vous raconterai les autres batailles un autre fois. Je suis fatiguée... Bonne nuit !

Continue c'est vachement bien !

Tu sais quoi? tu copie colle tout ça et tu m'en fais un joli MP merci xD lol, j'ai pas l'tps d'tout lire, dso, dmain ptetre..

wouaa continu j aime bien lire tes histoires aller encore une autre

De nouveau, un attroupement se forme autour de l'estrade. «La ménestrelle va raconter, la ménestrelle va raconter.» disait-on. Et Jyla était bien là, le lendemain son éblouissant triomphe.
- Alors mes petits chéris, ne suis-je pas méchante ? Je vous ai lâchement abondonné en pleine histoire, alors que le suspence était à son coooomble. Je vais continuer à présent.
Elle tourna sur elle-même en souriant.

Achalon III est le nom d'une étoile, une géante bleue, tournant grâcieusement dans le vide. Autour d'elle tournait non seulement tout une ribambelle de planètes, mais aussi une sèconde étoile, plus petite, une jolie étoile jaune du nom de Kolypno. Les planètes du système d'Achalon III étaient fédérées sous la domination de leur Master, un homme sage et habile dans les négociation, qui avait refusé de se joindre à lui des deux camps en guerre. En ces temps de troubles, il ne savait plus si celà avait été une bonne décision, surtout depuis que les pirates d'Osbo, profitant de la situation galactique, s'interessaient aux planètes-industries d'Achalon III. Ce système était riche, très riche, et chaque planète n'était qu'une immense ville. Hélas, qui dit ville dit manque de place pour les infrastructures de défence, rendant ce système assez vulnérable. Le Master ordonna la construction d'une immense flotte de défense pour compenser cette faiblesse. Ce fut sa pire erreur, l'Union Opportune considéra celà comme un acte de guerre et viola le pacte de non-agression qu'ils avaient entre eux. Achalon III fut envahi, et annexé par les Opportunistes. Le Master lança un appel au secours vers l'Empire Humain, qui fut plongé dans la perplexité et pesa les enjeux d'une attaque en ce système durant 4 longs mois. Pour des raisons idéologiques et industratégiques, les Humanistes devaient intervenir. Mais ce système était loin à l'intérieur des territoires Opportuns, et y faire parvenir sera long et difficile, car il faudrait d'abord vaincre la Lune-Forteresse d'Iocha, un Phalange de Capteurs hautement sophistiqué et extrèmement bien protégé. Seul une petite troupe, lançée en attaque surprise, pourrait intervenir. Le moteur pré-hyperespace, joyau de technologie, permettait ce genre de performance, mais n'était encore qu'en test sur quelques vaisseaux d'une nouvelle sorte. Ainsi, ce fut une très petite flotte de prototypes qui fut lancé. Ces prototypes sont les bases de ce qui deviendra un jour les vaisseaux de batailles, mais pour le moment on les qualifiaient de Méga-Croiseurs.

Sous les ordres de l'Amiral Jostune, femme remarquable entre toute, les Méga-Croiseurs arrivèrent secrètement dans le système surexploité et transformé en chantier spatial géant. Ils se placèrent en orbite autour d'un point de Lagrange, un point d'équilibre gravitationel, qui se trouvait exactement entre les étoiles jumelles du système, et attendirent en économisant leur carburant grâce à ce noyau d'équilibre. Comme il est de coutume de nommer les points de Lagrange ayant eu un rôle important dans un évènement historique, celui-ci devint le point de Jostune. Autour de ce point de Jostune, les Méga-Croiseurs scannaient secrètement le système et les jours passant l'équipage devint de plus en plus abattu. L'Union Opportune construisait, grâce aux ressources exceptionelles du système d'Achalon III, une flotte immense qui multiplia par 1,3 leur flotte totale, un avantage écrasant en cette guerre. Ne pouvant pas rester sans rien faire, ils envoyèrent des petits chasseurs furtifs s'infiltrer sur les planètes. Ces espions travaillèrent durant des mois à former des réseaux de résistance, à saboter la nouvelle flotte et à receuillir tout les renseignement possibles. Ils fixèrent la date d'explosion le jour F, autrement dit le jour où les vaisseaux de Jostune n'auraient plus de vivres et seraient forcés de lancer l'attaque.

Cette tactique marcha à merveille. Partout dans l'Univers, sur tout les fronts, les nouveaux vaisseaux explosèrent simultanément. Jostune sortit de l'ombre magnétique des deux étoiles, et attaqua les quelques vaisseaux de garde qui surveillaient les chantiers où de gigantesques croiseurs de classe M, les plus grands existant, s'assemblaient. Malgré leur nombre supérieur, les Opportunistes durent battre en retraite.

Cette bataille aura de très nombreuses conséquences. D'abord, l'Empire put s'emparer des croiseurs de classe M en construction et les finir pour les employer à leurs avantages. En prenant la Lune-Forteresse d'Iocha à revers grâce aux Mégas-Croiseurs, une pièce maîtresse du front tomba et une partie de l'Union fut perdue dans le même élan. À cette époque, on croyait l'Empire vainqueur, car il possédait, bien qu'inférieur numériquement, des Méga-Croiseurs et des Croiseurs M pour soutenir leurs batailles. Les plans des Croiseurs M entre leurs mains, une nouvelle classe de vaisseaux s'aligna de leur côté. Le fait de rendre son indépendance au système d'Achalon III à la fin de l'assemblage de la première série de Croiseurs M humanistes augmenta aussi grandement la sympathie des nations neutres envers l'Empire. Et la tactique d'Achalon, c'est à dire infiltration, sabotage et victoire ciblée, permit encore des succès indéniables.

Mais il y eu la bataille du détroit de la Nébuleuse de Tyffa...

C'est trop cool ton histoire continu

Je résume la situation. L'Alliance Opportune est bien partie pour perdre la guerre face à un Empire Humaniste surpuissant, suréquipé et surpopulaire. Ils se sont fait volé leur Croiseurs M qui a présent font figure de rouleau compresseur, et les Mégas-Croiseurs s'infiltrent et provoquent toujours plus de dégats. L'Amiral Jostune a été élue comme tierce-présidente et manipule ses troupes avec une précision chirurgicale et dévastatrice. On donnait encore quelques mois de survie à l'Alliance, et le nombre de déserteurs augmentait sans cesse.

L'Alliance décida de jouer le tout pour le tout dans une ultime bataille et visa Terra Prima, jusque là restée bien à l'abri en temps que "sanctuaire" et ayant conservé sa neutralité jusqu'au bout. En attaquant Terra Prima, l'Alliance forcerait l'Empire a dévié une partie de sa flotte. Et en exagérant les rapports et les mensonges, en obligeant l'Empire à surestimer la flotte attaquante, les dirigeants Opportuns voulaient affaiblir les fronts Humanistes et tenter une ultime percée.

Mais tout ne se passa pas comme prévu. L'Amiral Jostune elle-même se dirigea vers Terra Prima peu de temps après l'attaque, et elle sut alors déméler le vrai du faux parmis les rapports. Découvrant que seul un tier des vaisseaux qu'elle emmenait suffirait, elle rebroussa chemin à tout allure en sentant le piège. Au niveau de la Nébuleuse de Tyffa, elle découvrit la quasi-totalité des vaisseaux Opportuns converger vers le Noyau Humaniste, le groupe d'étoiles où est rassemblé la classe dirigeante impériale. La Nébuleuse brouillait les messages hyperspaciaux et l'ennemi l'avait repéré. Des petits chasseurs messagers partirent dans toutes les directions et l'Amiral engagea le combat, à 1 contre 3. Ce fut un désastre, une véritable boucherie pour les Humanistes. En une seule bataille, ils perdaient le quart de leur armée et un héros populaire. Nul ne retrouva le corps de Jostune, peut-être flotte t-elle encore parmis les débris insondables du détroit de la Nébuleuse de Tyffa, entre les deux nuages que forme cette masse de gazs.

La guerre devra encore durer six ans, sans vainqueur au bout du chemin.

Mac, t'as une super imagination, tu voudrais pa sécrire un livre??? ce serait sympat je pense!!!

Mac tu te gave vrément !!!
Je te tire mon chapeau bas . . .

GG

carément vrachement c cool ce ke tu fais

Merci, merci ^^

Pour information, j'écris des fanfictions et je vais bientôt penser à les publier sur http://www.fanfiction.net/. Ce sera une fic sur Tales of Symphonia et une fic sur Naruto. Vous serez les premiers avertis lorsque je les sortirai.

Ok kel honneur tu nous fais!!!^^ Bne bonne continuation dans cette voi

Ouep, chapeau

Je suis d'accord c'est trop bien tes histoire tu es un vrai génie